Parfois, je me promets de ne plus tendre la main, de ne plus prendre de nouvelles, de ne plus réconforter. Une voix (celle du binôme) me rappelle qu’un jour, j’ai été celle qui n’écrit pas, ne répond pas, ne retourne pas les attentions. Je me rappelle alors que j’ai eu besoin de gens qui n’abandonnaient pas, qui étaient bons même quand j’étais détestable.