Le weekend dernier, je suis enfin allée à la plage. Quiconque me connaît, c'est que j'adore aller à la plage. Ce n'était pas les eaux chaudes de la méditerranée mais c'était un moment sympa loin des tracasseries administratives, des deadlines et du stress. La Baule-Escoublac est une station balnéaire française située en Loire-Atlantique, en Bretagne. Elle est célèbre pour sa longue plage, ses hôtels, son casino, la proximité avec Guérande, entre autres.
Arrivés à 22h, on a eu peine à trouver un taxi. On a bien pensé à marcher mais les 2.5 km qui nous séparaient de la résidence nous ont convaincu d'attendre. Une demi-heure plus tard, nous arrivions à la résidence des Sylphes, située sur l'avenue Lajarrige, près de commerces, distributeurs et autres facilités. La simple et jolie déco (et surtout la fatigue) nous a accompagnés dans les bras de Morphée.
Samedi, notre seule vraie journée, nous voulions tout faire. Aller voir l'oceanorium au Croisic, les chantiers navals de Saint-Nazaire, se baigner, faire des balades à chevaux sur la plage. Déjà, il nous fallait faire quelques courses pour la plage. la réception nous conseille d'aller sur l'Avenue de Gaulle. Ayant raté, le petit train qui permet de visiter la ville, nous avons marché 2 km. On a d'ailleurs visité la ville de long en large pendant le séjour à force de marcher. Je conseillerai d'y aller en voiture (il n'y a d'ailleurs pas énormément de passages piétons) ou de louer des vélos pendant le séjour. J'ai énormément craqué sur les maisons à colombages (comme en Normandie) mais l'architecture de toutes les maisons qu'on a croisées était magnifique.
Sur l'Avenue de Gaulle, on n'a pas tardé à trouver ce qu'on cherchait. On l'a d'ailleurs trouvé très animée et relativement plus jeune que le reste de la ville. Des jeunes groupes de rock se produisaient à certains coins de rue. Nous avons déjeuné à La Croisette. Une déco sympa et chaleureuse, un repas simple mais frais et un super service. Juste en face, le restaurant La Villa que j'avais beaucoup vu sur Instagram ne désemplissait pas non plus. Sur le marché, près de la résidence, on a acheté des crêpes au caramel et beurre salé (qui a coulé partout) et on s'est dirigés vers la plage.
La location des transats nous a coûté bonbon mais quand le soleil s'est mis à frapper plus que fort, on a remercié le ciel pour les parasols. L'eau, par contre, était glacée. Les 28 degrés qu'il faisait, n'avaient pas vraiment réussi à la chauffer. On a tout de même fait trempette. J'ai salué l'eau à la kribienne et j'étais toute contente de pouvoir enfin patauger. La fatigue post-soleil a eu raison de notre témérité pour les activités. La soirée s'est terminée à la brasserie Shore sur le boulevard de bord de mer (la flemme de marcher plus loin) où on a mangé des burgers thai (pas vraiment une spécialité locale, j'avoue) et des glaces énormes.
Toutes les bonnes choses ont une fin et devoir quitter l'hôtel à 10h a donné une note assez brutale à cette fin. On a pris le petit-déjeuner assis sur des bancs face à la mer. On a regardé les baulois courir, faire du tai-chi, de la voile ou du paddle. Le soleil est monté haut dans le ciel et la plage s'est remplie. Assis dans un petit café, on a regardé les enfants faire du trampoline et leurs papies et mamies entrain de leur courir après. On a fait nos adieux à la plage et on a marché tout doucement vers la gare. Dans un restaurant près de là, on a mangé les meilleures galettes complètes de ma petite existence avant de monter dans le train retour pour Paris.
Mon plus grand regret en rentrant: ne pas avoir goûter ce fameux fondant baulois.....
Une petite part d'évasion alors que je rêve toujours de vacances dans mon open space. Merci, MaySi!
RépondreSupprimerJe lis ton commentaire alors que c'est déjà la rentrée!; lol. Bonne rentrée Jeannie!!
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